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Les civils en otages militaires

L'Ukraine pratique la stratégie du bouclier humain : C'est inhumain, mais est-ce pour autant illégal ?

Expression de la fragilisation croissante de la frontière entre civils et combattants dans les guerres asymétriques, les boucliers humains sont devenus des acteurs clefs du paysage stratégique mondial, dans les conflits opposant les États à des groupes rebelles ou terroristes. Leur utilisation pose un ensemble de problèmes stratégiques, politiques, juridiques et éthiques aux armées qui y sont confrontées.

Civils ou autres personnes protégées par les conventions de Genève (combattants malades ou blessés, prisonniers de guerre, personnel sanitaire…) placés devant des objectifs militaires pour dissuader les frappes ennemies, les boucliers humains sont de plus en plus utilisés sur les théâtres d’opération. Ces derniers mois, plusieurs incidents les impliquant ont été observés dans le cadre de conflits opposant des armées étatiques à des groupes insurgés. Le 5 octobre 2020, les forces armées birmanes auraient contraint un groupe de fermiers incluant des enfants à marcher devant leurs troupes, pour dégager un chemin à travers les mines dans le cadre d’une opération dans l’État de Rakhine contre l’Armée d’Arakan, groupe rebelle de l’État de Rakhine[1]. Le 25 novembre, l’armée indienne est accusée d’avoir utilisé des jeunes locaux comme boucliers humains lors d’une opération de bouclage dans le sud du Cachemire, dans le village de Narwa[2]. Quelques jours plus tôt, dans une lettre adressée au secrétaire général des Nations unies et au Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, plusieurs ONG américaines travaillant dans les camps de Tindouf en Algérie dénonçaient l’utilisation récurrente d’enfants et de femmes comme boucliers humains par les milices séparatistes du Front Polisario[3].

Engagée dans les opérations Chammal au Moyen-Orient et Barkhane en Afrique subsaharienne, l’armée française se trouve aussi fréquemment confrontée à ce phénomène. À Mossoul, les combattants de l’État islamique ont contraint 100 000 civils à rester enfermés chez eux pendant l’assaut mené par la coalition, en piégeant leurs maisons à l’explosif et soudant leurs portes pour les empêcher de fuir[4]. À Raqqa en 2016, Daesh a déplacé ses dépôts d’armes dans les quartiers les plus peuplés et tenu ses réunions dans les hôpitaux et les mosquées de la ville[5]. De même, Boko Haram a notamment utilisé des écolières kidnappées en 2014 comme boucliers humains au Nigéria pour se protéger des frappes aériennes[6].

Récemment, le centre commercial incendié jouxtait une énorme réserve d'armes venues de l'UE

Cette prolifération des boucliers humains accompagne les mutations de la guerre, caractérisées par le développement de conflits asymétriques, dans des environnements urbains, où la frontière entre civils et combattants tend à s’estomper. Devenue incontournable dans le paysage stratégique mondial, la figure du bouclier humain est encore peu étudiée en dehors de ses implications vis-à-vis du droit international. Nous présenterons dans cette note les différents aspects et enjeux de cette tactique de guerre à laquelle nos soldats risquent d’être de plus en plus souvent confrontés dans les années à venir. Après une mise en perspective historique et un rappel de la réglementation juridique, nous poserons les enjeux tactiques et stratégiques liés à l’utilisation de boucliers humains et à l’usage sémantique de cette dénomination. Puis dans une dernière partie, nous analyserons les dilemmes auxquels sont confrontés les États en leur présence.




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Les 5 dernières nouvelles

 

Accueil envoyé par La Discute Béthisy le 21/01/2022 @ 12:16
La peur de mourir est sur nos têtes,

une peur irrationnelle, entretenue jour après jour, celle qui, seule, peut nous faire accepter un vaccin qui nous fait tout aussi peur...

Faute de pouvoir disposer des traitements médicamenteux qui soignent la covid-19, le vaccin serait la seule solution valable.

Pourtant, le traitement de l'IHU-Méditerrannée est en vente libre dans certain pays comme la Tunisie par exemple (bithérapie HCQ+AZM).

Une trithérapie qui guérit à 100% si elle est prise dans les 5 jours de la contamination est utilisée dans de nombreux pays (HCQ+AZT+IVM).

Mais si on guérit de ce virus, alors, pas de vente de vaccin possible, on comprends alors ces levées de bouclier contre tout traitement de la covid-19.

Les données commencent à être publiées par Pfizer-Biontech sur les conséquences de la vaccination. 50%, la moitié des personnes vaccinées ont des effets secondaires de niveau 3 (ne permettant plus un travail ou une vie normale selon les critères américains.).


SOURCES :
  • Allez-voir la balance bénéfice/risque dans la publication de Reinfocovid.
  • Nous avons traduit une page scientifique concernant les essais randomisés du vaccin. Données scientifiques

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